Nous faisions partie des fans de Pierre-Sang Boyer, finaliste de Top chef 2011, et nous attendions qu'il ouvre son restaurant à Paris, afin de voir à l'oeuvre ce jeune cuisinier doué.

C'est fait, et il a installé son restaurant éponyme dans le 11^ème arrondissement, au cœur du boboland parisien. Et compte tenu du récent passé médiatique de Pierre-Sang, c'est forcément un véritable événement, qui agite déjà le microcosme gourmand de Paris.

Nous connaissons Joël Robuchon depuis de nombreuses années, et même dès ses débuts chez Jamin à Paris, où il devait être couronné de trois étoiles au Michelin en 1984.

Puis nous l'avons encore suivi dans son restaurant éponyme de l'avenue Raymond Poincaré, jusqu'au jour où après avoir fêté ses 50 ans, et comme il l'avait annoncé, il avait rendu les clés de son prestigieux restaurant parisien, pour embrasser une carrière plus internationale. 

De retour à Paris, Gregory Marchand qui avait été baptisé Frenchie par Jamie Oliver, en a profité pour donner ce nom sympa et pas banal à son tout petit restaurant du Sentier. 

Une adresse minimaliste au look rétro, dans un mélange de briques, de boiseries sombres et de murs en pierres apparentes, avec juste deux douzaines de couverts et basta ! 

Exit l'Angle du Faubourg, annexe bistronomique du célèbre restaurant Taillevent, qui a laissé place au 110 de Taillevent, tout nouveau concept de restaurant où le vin joue les stars.

Le nom du restaurant dévoile déjà une partie de ce qui vous y attend : la possibilité de déguster 110 vins au verre sélectionnés dans la cave Taillevent, servis dans de parfaites conditions, grâce à des armoires qui maintiennent les vins à bonne température et sans qu'ils s'oxydent .

Nous connaissons ce restaurant chic depuis longtemps, et même déjà à l'époque où le plat emblématique de la carte était la bécasse rôtie. Un plat d'anthologie qu'on ne trouve plus, et qui était d'ailleurs facturé à prix d'or. 

Puis est venue l'époque Senderens, quand ce brillant cuisinier a repris cette institution parisienne, parées de boiseries signées Majorelle où il servait l'un de ses grands classiques : le caneton Apicius.

Adresse désormais incontournable de Paris, le restaurant de l'Hôtel Amour est devenue l'un des spots gourmands privilégiés et les plus en vue du Tout-Paris chic et branché.

Il est vrai que cette maison de la galaxie Thierry Costes (Restaurants Le Georges, Corso, Thoumieux...), ne manque pas de charme avec sa déco vintage signée André et Emmanuel Delavenne, tandem de décorateurs à succès. 

Si vous venez dans ce restaurant chinois chic des beaux quartiers de Paris, ne demandez pas à voir Madame Wang. Ce n'est que le nom donné par jean-Louis Costes déjà actionnaire de restos très en vue : l'hôtel Amour, la Villa Barclay, le Georges, l'hôtel Costes... 

Donc fini les Délices de Szechuen, puis du Nabulione, ce Napoléon là, ayant raté sa campagne de Paris.