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Si vous avez dépassé la quarantaine, vous vous souvenez surement des "Batifol, les bistrots dont on raffole" néo brasseries de l'époque ouvertes aux quatre coins de Paris, qui proposaient une agréable cuisine à des prix très raisonnables, avec même des mets "à volonté" comme les carottes râpées ou la mousse au chocolat.
A ParisGourmand on se souvient encore de sa carte, avec par exemple un bon os à moelle rôti au gros sel, un remarquable pied de veau Saint-Eustache, du pot au feu ou de la blanquette de veau, des desserts sympas... tout ce qu'il fallait pour passer un bon moment sans se ruiner.
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Si vous aimez la bistronomie, tout autant que les restaurants qui surfent allègrement sur les saveurs d'Asie, n'attendez pas pour réserver une table chez "TO Restaurant", cette toute nouvelle adresse installée à quelques pas de "Chez Prune", entre le canal Saint-Martin et la place de la République.
Une adresse très actuelle, qui aborde avec bonheur et créativité le registre de la fusion franco-asiatique.
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Pour faire un repas dans un authentique "bouillon", on n'avait jusqu'à présent le choix qu'entre deux adresses : le Bouillon Chartier Grands Boulevards et le Bouillon Chartier Montparnasse... mais rien à l'est de Paris !
Aussi, la famille Joulie, véritable sauveur et conservateur du style Bouillon, a pensé qu'il fallait corriger cette carence et a ouvert un tout nouveau Bouillon Chartier, juste en face de la Gare de l'Est. Ainsi est né le nouveau Bouillon Chartier Gare de l'Est
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Navire amiral du Groupe Flo, cette superbe brasserie se fait presque discrète dans son passage au sol pavé de pierre qui donne sur la rue du Faubourg Saint-Denis.
Mais dés que l'on a franchi la porte, on découvre une maison au cadre exceptionnel typiquement 1900, avec ses vitraux colorés, sa longue frise qui met en scène des personnages de contes alsaciens et, sur un mur, un vieux piano mécanique.
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Pousser la porte du Bouillon Julien, ex brasserie proche des Grands Boulevards qui a retrouvé son registre de bouillon pas char d'autrefois, c'est pousser la porte du temps et être aussitôt transporté à l'époque des Années Folles.
Ainsi en témoignent le superbe bar en acajou style Majorelle, les jolies femmes peintes sur les murs par Louis Trézel d'après des dessins de Mucha, et le sol en mosaïque, qui font de Julien un véritable chef d'œuvre de l'Art Nouveau .
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Installée juste en face de la gare du Nord, cette immense brasserie n'a pourtant vraiment rien d'un buffet de gare.
Bien au contraire, le joli cadre rétro du Terminus Nord qui mêle l'Art Déco et l'Art Nouveau, est déjà une invitation à poser ses bagage pour profiter de ce décor chaleureux, avec son grand comptoir en acajou, son carrelage en mosaïque et tout ce qu'il faut de cuivres rutilants et de miroirs.
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Pas vraiment nouveau, mais toujours à classer dans la liste des bons restos bistros à vin, le restaurant Le Réveil du Xe fait partie des bonnes adresses du Xe arrondissement.
Pendant vingt ans, Cathy et Daniel Vidalenc ont fait vivre ce sympathique bistrot, où il faisait bon venir entre amis boire un verre de l'un des beaujolais choisis par Daniel ou goûter les planches de fromages ou de charcuteries, voire un des bons petits plats auvergnats que cuisinait Cathy.
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Une envie de tapas ? Pas évident à Paris ! Surtout si vous ne voulez pas qu'elles doivent l'essentiel de leurs qualités à un ouvre-boîte... sauf si vous venez les goûter à La Paella, restaurant espagnol fondé en 1954.
Et depuis plus d'un demi-siècle, c'est toujours la même famille qui est aux commandes, avec Blanca, Gilda et José, qui se mettent véritablement en quatre, et dans une bonne humeur perpétuelle, pour vous faire plaisir et vous faire déguster une belle et bonne palette de tapas.
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Gagnant de l'émission Top Chef de M6 en 2010, Romain Tischenko s'est enfin installé chez lui, dans un gentil bistrot d'une rue improbable dans un coin du 10ème arrondissement de Paris où il a été rejointe par son frère Maxime.
Le Galopin, c'est un mini restaurant d'angle avec pignon sur une placette calme, un bar décoré façon tags, quelques tables en bois comme usées par le temps, et une petite cuisine largement ouverte sur la salle à manger qui laisse voir le chef en pleine action.
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Vous avez surement entendu parler du restaurant L'Abri, pourtant peu de gens peuvent vous dire ce qu'ils en pensent : le restaurant L'Abri est ouvert depuis l'automne 2012 et il n'y a qu'une vingtaine de couverts au total.
D'ailleurs le restaurant Abri ne cherche visiblement pas à se faire remarquer : il n'y a même pas d'enseigne qui signale la maison, mais juste une façade anonyme bleu pétard, encadrée de murs lépreux !
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