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| Talentueux restaurateur aux commandes du fameux bistrot Astier, de Jeanne A, de Jeanne B et de Jeanne des Mers, Frédéric Hubig ajoute une corde à son arc en transformant son ambassade transalpine en grill... haut de gamme !
Fini donc le registre toscan et le cadre qui va avec, et qui a laissé place à une déco... vachement bien d’inspiration rurale, avec ses murs clairs talochés, ses tables en bois, et ses grandes peaux de bovins qui recouvrent le dossier des banquettes où qui sont tendues sur les murs. |
| Ce tout nouveau restaurant installé à l’angle du passage Beslay et de l’avenue Parmentier, deux rues au nom de personnages illustres, l’un à l’époque de la Commune de Paris au 17ème siècle, et l’autre connu comme « l’inventeur » de la pomme de terre au 18ème siècle, bien qu’ayant l’air indépendant est en réalité une annexe de l’Hôtel des Deux Girafes, l’un des rares hôtels de luxe et de charme du 11ème arrondissement.
Une bonne nouvelle, car il n’y a finalement pas vraiment de tables aussi intéressantes que le Beslay dans ce quartier de Paris. |
| Adresse emblématique et éponyme de la bistronomie parisienne crée en 1956 par la famille Astier, ce bistrot à toujours été réputé pour la qualité de sa cuisine bistrotière exemplaires, et sa riche carte des vins où figurent de très bonnes bouteilles des meilleures appellations.
Reprise en 2006 par Frédéric Hubig-Schall, la maison Astier continue sa belle sa belle carrière, et est même devenue plus agréable qu’avant, depuis que son cadre à été très discrètement relooké à l’automne 2015. |
| Tout sur le restaurant Le Villaret : La rue : calme et un peu à l'écart du quartier branché d'Oberkampf. La façade : discrète et sans rien de tape-à-l'œil. Le cadre : celui d'un bistrot d'antan, avec un joli zinc rétro à l'entrée, des murs en pierres apparentes et une abondante poutraison à l'ancienne.
La clientèle : abondante et fidèle, d'amateurs de bonne chaire et de bons vins. Les prix : particulièrement raisonnables pour une cuisine de cette qualité, mitonnée dans les règles de l'art. |
| Nous faisions partie des fans de Pierre-Sang Boyer, finaliste de Top chef 2011, et nous attendions qu'il ouvre son restaurant à Paris, afin de voir à l'oeuvre ce jeune cuisinier doué.
C'est fait, et il a installé son restaurant éponyme dans le 11ème arrondissement, au cœur du boboland parisien. Et compte tenu du récent passé médiatique de Pierre-Sang, c'est forcément un véritable événement, qui agite déjà le microcosme gourmand de Paris. |