On connaissait Harold Sacreste dans le registre de la cuisine « fusion » chez Eugène ou chez Harold, le voici maintenant qui aborde le thème italien avec autant de bonheur, en ouvrant Di Vino dans le secteur huppé du Trocadéro, second restaurant transalpin après La Vinoteca,  

Nous avons bien aimé le cadre moderne de ce restaurant d'angle, son mobilier design, son éclairage intimiste et sa belle terrasse.

Nous avions beaucoup aimé le « Jardin d'hiver » du Meurice, annexe du restaurant gastronomique de ce grand palace parisien, mais quand nous avions appris qu'il allait être complètement transformé, force est de reconnaître que nous étions un peu chagrin. Mais finalement tout est bien qui finit bien ! 

En effet, Le Dali est une vraie réussite tant du côté du cadre que du côté de la carte, grâce au talent créatif de l'équipe du célèbre cuisinier Alain Ducasse, l'un des chefs les plus étoilés au Monde. 

Une envie de tapas ? Pas évident à Paris ! Surtout  si vous ne voulez pas qu'elles doivent l'essentiel de leurs qualités à un ouvre-boîte...

Même dans ce restaurant espagnol fondé en 1954. les bonnes et authentiques tapas qui figuraient à la carte ont disparu au profit de tapas... plus modernes ?

N'allez pas confondre le restaurant éponyme de Laure et Thomas Chartier, avec la brasserie Chartier des Grands Boulevards à Paris : ici on joue dans le registre de la bistronomie... et avec succès si l'on en juge par le nombre d'habitués qui y ont leur rond de serviette.

Une véritable aubaine pour ceux qui vivent ou qui travaille dans ce quartier des faubourgs de Paris où les restaurants de qualité ne sont pas légion.

Si on vous donne rendez-vous au restaurant la Gare, ne faites surtout pas la moue : il ne s'agit pas de déjeuner ou de dîner dans un quelconque buffet de la SNCF (encore que certains ont même été étoilés autrefois), mais de vous sustenter agréablement dans un superbe restaurant tendance.

Une bonne idée, le restaurant La Gare installé dans l'ex gare de la Muette à Paris 16e sur la ligne de la petite ceinture.

Elle est vraiment belle cette Maison de Charly, créée par Claude Driguez et aujourd'hui dirigée par son fils Melvin, avec ses murs cirés dans des tons ocre, son sol en dalles de terre cuite, ses claustras en boiseries sombres, son miroir plaqué au mur entre deux hautes portes de riad marrachi, et ses grands palmiers plantés au centre de la salle à manger.   

Pourtant, malgré ce superbe décor, une cuisine orientale de qualité et un service particulièrement prévenant, les prix restent sages et sans surprise.

Tout sur le restaurant Le Villaret : La rue : calme et un peu à l'écart du quartier branché d'Oberkampf. La façade : discrète et sans rien de tape-à-l'œil. Le cadre : celui d'un bistrot d'antan, avec un joli zinc rétro à l'entrée, des murs en pierres apparentes et une abondante poutraison à l'ancienne.

La clientèle : abondante et fidèle, d'amateurs de bonne chaire et de bons vins. Les prix : particulièrement raisonnables pour une cuisine de cette qualité, mitonnée dans les règles de l'art.