Le moins que l’on puisse dire c’est que ce troquet d’angle ne se pousse pas du col mais joue au contraire dans le registre de la simplicité et dans un style rétro  avec ses murs blancs cassés, son comptoir rouge vif en formica, ses banquettes en moleskine rouge et ses tables couleur bois.

Ce qui n’empêche pas Gina , la cuisinière d’origine Californienne de mettre de la couleur et quelques touches d’exotisme dans ses plats d’inspiration le plus souvent fusion.

Après avoir ouvert un premier restaurant D’Jawa en 2012 au 148 rue Montmartre, Stéphanie, jeune restauratrice d’origine franco-indonésienne, ouvre un second D’jawa rue de Miromesnil, au cœur  des  beaux quartiers de Paris.

Ici pas de déco farouchement exotique, si ce n’est un original toit végétal et, comme dans la première maison du nom, une cuisine inspirée de la street food indonésienne, avec des mets cuisinés devant vous.

Véritable dénicheur de bons produits, José Da rosa est devenu une véritable référence pour les gourmets les plus difficiles, et a déjà ouvert quatre adresses à son nom à Paris : deux épiceries-cantines, un atelier et un bar à vin, le tout réparti sur quatre arrondissements.

Da rosa Vendôme ouvert 2012 s’inscrit dans la lignée de ses aînés, et vous accueille dans un cadre particulièrement chaleureux mis en scène Mamoru Kondo et embelli par un mobilier signé Jacques Garcia.

Ex professeur de chimie, mais passionné par la cuisine, Alain Pramil s’est reconvertit en restaurateur et a ouvert en 2007 un restaurant éponyme au cœur du Marais, où il prodigue une cuisine d’auteur assez appréciée des gastronomes parisiens.

Ici pas de déco signée par une star du genre, mais un agréable cadre assez cossu pour chacune des deux salles à manger, qui conjugue des murs en pierre ou dans des tons clairs parés de tableaux modernes.

Les cantines thaïes à Paris, ce n’est pas ce qu’il manque, mais le restaurant Kapunka se distingue tout d’abord de ses semblables en proposant une cuisine sans gluten : régime ou pas, ça peut plaire !

Côté déco, rien d’exceptionnel ou de très exotique, avec un cadre d’inspiration moderne et plutôt sobre… ce qui n’empêche pas que la carte vous fasse vraiment voyager en proposant des spécialités issues de la street food thaïlandaise.

Ce restaurant à changé de propriétaire, de nom et de carte. Pour trouver un autre restaurant, cliquez ICI

Exit le Bistrot d'à côté Villiers, repris par Stéphanie Monset et Chalotte Chaput, deux charmantes professionnelles de la restauration, qui ont apporté de délicates touches féminines à la déco bistrotière de la maison.

Ce restaurant a été fermé, et remplacé par le restaurant La Cantina di Luca Baudry. Pour trouver un autre restaurant, cliquez ICI

Drôle de nom pour un restaurant, mais après tout pourquoi pas... surtout quand l'adresse la joue « branché » côté déco : ce resto a été relooké par Pierre Yves Rochon, célèbre décorateur et architecte d'intérieur.