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| On a testé le Mary Céleste. Impossible de parler de ce restaurant sans parler du voilier Mary Céleste, qui fut retrouvé en 1872 dérivant toutes voiles dehors dans l'Atlantique, les cales pleines de fûts d'alcool mais sans nulle âme qui vive à bord. Un mystère qui n'a jamsi été éclairci.
En tous cas, ce bistrot restaurant marin ne lui ressemble pas, car on ne constate nulle dérive, bien au contaire, la maison suit sa route avec brio... avec plein de passagers à son bord ! |
| Exit le Murano, ancien restaurant de l’hôtel éponyme du boulevard du Temple, et vraisemblablement pas assez performant pour son propriétaire, qui a décidé de transformer son établissement de fonds en combles.
Ainsi est né le 1K, devenu Inka, restaurant placé sous le signe de la culture Inca, avec un super décor signé par l’architecte Raymond Morel, qui a su créer ici une ambiance chic et cosy, inspiré de codes piochés dans le registre Inca. |
| Vous souvenez vous de Ploum, restaurant improbable « brut de béton » à côté de la République et avez-vous encore en mémoire sa cuisine en VO et décalée à tout petit prix qui faisait un vrai tabac ?
Eh bien c’est reparti, Sourasack Phongphe ayant ouvert Soma à l’automne 2014 cette version parisienne et moderne des isakayas japonais, bistrots à la mode nipponne, où l’on se retrouve en bandes joyeuses pour boire du saké et autres boissons que l’on accompagne de petits plats conviviaux. |
| Ex professeur de chimie, mais passionné par la cuisine, Alain Pramil s’est reconvertit en restaurateur et a ouvert en 2007 un restaurant éponyme au cœur du Marais, où il prodigue une cuisine d’auteur assez appréciée des gastronomes parisiens.
Ici pas de déco signée par une star du genre, mais un agréable cadre assez cossu pour chacune des deux salles à manger, qui conjugue des murs en pierre ou dans des tons clairs parés de tableaux modernes. |
| Ce restaurant joue désormais la carte du bar branché. Pour trouver un autre restaurant, cliquez ICI Petit à petit les frères Mazouz étendent leur empire gourmand de la rue des Gravilliers au Marais. Ainsi et après le 404 et Derrière, ils ont ouvert ce bar restaurant branché au look kitsch, dans un style genre oriental déjanté. Et ça plaît, le Paris People est au rendez vous et se presse ici pour des soirées très animées, dans une ambiance chaleureuse sur fond de musique oriental ou avec animation musicale DJ d’autres soir. |
| L’ouverture de ce restaurant fin décembre, va surement devenir l’une des plus belles histoires gourmandes 2016… pas dans le domaine de la BD bien sûr, le célèbre prestidigitateur comique s’étant contenté de prêter son nom au tout nouveau restaurant de Simon Horwitz.
Mais là s’arrête la comédie, car rarement ouverture n’a été aussi pensée, réfléchie,même dans ses moindres détails, pour donner naissance à une table bistronomique exceptionnelle qui va faire du bruit. |
| La Saga Big Mamma continue avec une nouvelle enseigne rue Debelleyme au cœur du Marais : le Biglove Caffè, café napolitain à la sauce Big Mamma qui vous accueille derrière une façade vitrée, avec une entrée où sont suspendus une multitude de jambons et de chapelets de saucissons accrochés au plafond. Encore un succès annoncé pour cette trattoria? On peut y croire quand on voit la queue permanente qui s’étire devant Big Mamma, Ober Mamma ou Mamma Primi, les aînés du Biglove Caffè. |
| Ne vous fiez pas à l’enseigne de ce restaurant niché en rive de Beaubourg, car derrière un nom un rien franchouillard, se cache en réalité l’une des tables chinoises les plus originales de Paris.
Même chose côté déco, la salle à manger conjuguant un mobilier bistrotier néo-rustique avec des chaises en bois de récup chinées dans une brocante, avec des luminaires sinisants, quelques tableaux et gravures chinois rétros ou modernes et des poteaux peints d’idéogrammes chinois qui délivrent un message resté inconnu. |
| Exceptionnel cuisinier autodidacte d'origine libanaise, qui dormait sur les bancs il y a vingt ans lors de son arrivée à Paris, Alain Geaam a réussi l'incroyable exploit d'ouvrir plusieurs restaurants en quelques années et est même étoilé dans son restaurant éponyme de la rue Lauriston.
Aujourd'hui, ce chef atypique retrouve ses racines en ouvrant le restaurant Qasti, ce qui se traduit par « mon histoire » en libanais |
| Avec sa façade pierre de taille et ses tables et chaises couleur bleu ciel, le Restaurant Mabrouk Paris affiche un petit air genre Café des délices de Sidi Bou Saïd.
C’est d’ailleurs une table du Haut Marais vouée à la cuisine tunisienne, parfaitement mise en scène par le chef franco-israélien Daniel Renaudie. |