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A la lettre "T" comme terroir de votre agenda gourmand, notez notez bien l'adresse du remarquable restaurant auvergnat de Didier Desert, sans aucun doute la meilleure ambassade gourmande du genre à Paris, et une escale gourmande idéale pour les amateurs de cuisine classique.
Déjà le cadre rustique de l'Ambassade d'Auvergne, avec ses murs talochés, sa belle poutraison, son mobilier d'autrefois et une grande table d'hôte en bois épais, a l'accent du pays et s'inscrit dans le registre terroir.
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Constatant l’engouement qu’avait suscité la winstub qu’il avait ouverte en 1931 dans le cadre de l’exposition coloniale de Paris, Robert Jenny, alsacien pur jus, avait eu la bonne idée d’ouvrir une brasserie alsacienne éponyme à la République.
Au fil du temps, cette ambassade gourmande de l'Alsace allait affirmer sa personnalité, déjà côté décor, la maison devant finalement être décorée de superbes marqueteries de Charles Spindler et de sculptures de Herni.
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Glou ? Drôle de nom pour un resto ! Mais ça n'empêche pas que ce restaurant du Marais qui fait face au Musée Picasso, soit vraiment « glop » côté assiette !
D'abord, l'endroit ne manque pas d'agrément avec, derrière une façade verte, une salle tout en longueur, éclairée par des suspensions noires épurées, des murs en pierre grattée et en briques, un escalier métallique qui conduit à la salle en étage, et d'épaisses tables en bois.
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Ce ne sont pas les restaurants italiens qui manquent à Paris, surtout si l'on inclut les pizzérias dans la liste de ces restaurants.
Mais en définitive, quand on supprime de la liste, les dites pizzas ou en tous cas celles sans intérêt, les restaurants trop chers, prétentieux ou pas très bon, on s'aperçoit que ce choix n'est pas si large que ça.
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Les bodegas espagnoles et surtout celles vouées aux tapas ne sont pas légion à Paris. Aussi notre attention a été attirée par le restaurant Les Caves Saint Gilles, niché dans une petite rue du Marais entre Bastille et République, à proximité de la Place des Vosges.
Déjà le cadre typique de la maison est assez séduisant avec ses azulejos aux murs, ses affiches espagnoles et un grand bar ou l'on peut y boire la Sangria de la casa ou de nombreux vins espagnols.
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Le restaurant Rosito est l'une des rares escales gourmandes corses de Paris. Une adresse donc à visiter si vous aimez comme nous les charcuteries, fromages et autres spécialités gourmandes de l'Île de Beauté.
En effet, même s’il est originaire de Montpellier, Franck Merton a su mettre sa cuisine à l’unisson de celle de Marie-Paule Fenocchi, Corse pur jus originaire de Renno , pour nous mitonner avec talent une cuisine qui met à l’honneur les grands standards de la cuisine paysanne Corse.
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Le Petit Marché... tout un programme pour ce restaurant du Marais, installé à un angle de rue pas bien loin de la place des Vosges.
L'endroit est sympa avec son zinc à l'ancienne, sa cuisine ouverte sur la salle et ses vieux tableaux accrochés aux murs... une adresse à découvrir pour sa cuisine très diversifiée, avec une carte qui ratisse (trop ?) large et semble vouloir réunir un maximum de mets, pour plaire à tout le monde !
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Nous avons découvert ce restaurant thaï par hasard, en nous promenant dans l'un des plus beaux quartiers de Paris : le Marais.
Bien que très attentifs à tout ce qui se dit dans la presse sur les restaurants parisiens, rien ne nous revenait en mémoire sur cette table vouée à la cuisine thaïlandaise, et à première vue attrayante, tant par son décor que par sa carte.Mais quand on n'a pas d'autre rendez vous et qu'il est à peine plus de midi, on ne laisse pas filer l'occasion de faire une nouvelle découverte.
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Exit le Murano, ancien restaurant de l’hôtel éponyme du boulevard du Temple, et vraisemblablement pas assez performant pour son propriétaire, qui a décidé de transformer son établissement de fonds en combles.
Ainsi est né le 1K, devenu Inka, restaurant placé sous le signe de la culture Inca, avec un super décor signé par l’architecte Raymond Morel, qui a su créer ici une ambiance chic et cosy, inspiré de codes piochés dans le registre Inca.
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Vous souvenez vous de Ploum, restaurant improbable « brut de béton » à côté de la République et avez-vous encore en mémoire sa cuisine en VO et décalée à tout petit prix qui faisait un vrai tabac ?
Eh bien c’est reparti, Sourasack Phongphe ayant ouvert Soma à l’automne 2014 cette version parisienne et moderne des isakayas japonais, bistrots à la mode nipponne, où l’on se retrouve en bandes joyeuses pour boire du saké et autres boissons que l’on accompagne de petits plats conviviaux.
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